"Il existe des moments sur nos chemins de vie qui blessent mortellement les coeurs exposés. Des entailles de l'enfance aux morsures d'une histoire d'amour, en passant par la maladie ou d'autres évènements dramatiques, les cicatrices nous recouvrent, nous submergent parfois jusqu'à nous fragiliser dans tout ce que nous sommes." Avec des textes inspirés du vécu de proches de l'auteure, d'expériences personnelles, de faits divers ou purement imaginaires, "Ecchymoses : Petites autopsies de nos coeurs valeureux" est un recueil poétique teinté de développement personnel. Il retrace des étapes de vie, des réflexions dans lesquelles nous pouvons tous nous reconnaître. L'abandon, les ruptures amoureuses, le deuil, le lâcher prise ou l'acceptation de soi, sont autant de thématiques abordées au sein des 48 poèmes composant l'ouvrage, pour nous encourager à comprendre nos failles et à nous accepter dans toute notre imperfection.

Née en 1986 à Lyon, Marine Albert a grandi et vit sur la Côte d'Azur. Docteure en sciences et enseignante passionnée d'arts, elle s'engage sérieusement dans l'écriture au cours du confinement du printemps 2020. Les choses s'enchaînent alors rapidement. Elle débute une page Instagram, @marine_ecrit, qui rassemble en quelques mois près d'un millier de lecteurs bienveillants. Un premier poème, "Tic Tac", critique au vitriol de la pression sociale exercée sur les trentenaires sans enfant, est publié dans la revue spécialisée Poétisthme. "Un éclair de goumandises", poème coquin jouant sur le double sens, est également lauréat du concours annuel de poésie des musées départementaux du Tarn. L'édition de ce premier recueil s'impose alors comme une évidence, une continuité naturelle de partage.

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Marine Albert:Née en 1986 à Lyon, Marine Albert a grandi et vit sur la Côte d'Azur. Docteure en sciences et enseignante passionnée d'arts, elle s'engage sérieusement dans l'écriture au cours du confinement du printemps 2020.Les choses s'enchaînent alors rapidement. Elle débute une page Instagram, @marine_ecrit, qui rassemble en quelques mois près d'un millier de lecteurs bienveillants. Un premier poème, "Tic Tac", critique au vitriol de la pression sociale exercée sur les trentenaires sans enfant, est publié dans la revue spécialisée Poétisthme. "Un éclair de goumandises", poème coquin jouant sur le double sens, est également lauréat du concours annuel de poésie des musées départementaux du Tarn.L'édition de ce premier recueil s'impose alors comme une évidence, une continuité naturelle de partage.