Un cadavre de classe

Un professeur de maths détesté par tout le personnel et par tous ses élèves est mystérieusement assassiné... dès le premier chapitre. L'inspecteur et son adjointe enquêtent, mais trop d'indices, c'est parfois comme pas assez. Un cadavre de classe, un roman policier complètement débridé, totalement fou, qui multiplie avec bonheur de nombreux clins d'oeil au lecteur. Une lecture réjouissante. ' Du vrai bonbon ', a écrit Martin Francoeur du Nouvelliste.

Écrivain à temps partiel depuis 30 ans et éditeur à temps plein depuis 23 ans, Robert Soulières mène deux carrières de front. Et il se demande ensuite pourquoi il a le crâne dégarni ! Entre ces deux métiers, il ne saurait lequel choisir. Mais pourquoi diable absolument choisir alors que les deux lui vont à ravir et qu'ils lui offrent autant de petits bonheurs ?

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Écrivain à temps partiel depuis 30 ans et éditeur à temps plein depuis 23 ans, Robert Soulières mène deux carrières de front.Et il se demande ensuite pourquoi il a le crâne dégarni !Entre ces deux métiers, il ne saurait lequel choisir. Mais pourquoi diable absolument choisir alors que les deux lui vont à ravir et qu'ils lui offrent autant de petits bonheurs ?

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Un professeur de maths deteste par tout le personnel et par tous ses eleves est mysterieusement assassine... des le premier chapitre. L'inspecteur et son adjointe enqutent, mais trop d'indices, c'est parfois comme pas assez. Un cadavre de classe, un roman policier compltement dbrid, totalement fou, qui multiplie avec bonheur de nombreux clins d'oeil au lecteur. Une lecture rjouissante. Du vrai bonbon a crit Martin Francoeur du Nouvelliste.

Zusammenfassung
Un professeur de maths détesté par tout le personnel et par tous ses élèves est mystérieusement assassiné dès le premier chapitre.L'inspecteur et son adjointe enquêtent, mais trop d'indices, c'est parfois comme pas assez.Un cadavre de classe, un roman policier complètement débridé, totalement fou, qui multiplie avec bonheur de nombreux clins d'oeil au lecteur.Une lecture réjouissante. " Du vrai bonbon ", a écrit Martin Francoeur du Nouvelliste.