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La mort biologique résulte de l'incapacité permanente d'un organisme à résister aux modifications imposées par son environnement. Au-delà de cette caractérisation médicale, on peut dire que la mort est un événement majeur dans la destinée de tous les êtres humains. En effet, ceux-ci entretiennent des relations très complexes avec la mort dont l'approche varie beaucoup selon les cultures, les contextes et les personnalités individuelles. Mais dans tous les cas, la mort met en scène tout l'imaginaire de la conscience collective, révèle toute son étendue en terme d'inconnaissable, de mystérieux. La mort est incompréhensible, impénétrable et par conséquent, elle occupe tout l'espace émotionnel de l'esprit humain [angoisse, tristesse, appréhension, tourment, agitation, etc.]. L'examen de l'histoire de la mort montre que cette dernière s'illustre en son sens théologique comme une attente eschatologique ayant essentiellement pour arrière-fond un système de dévotions recommandé par la religion. Celle-ci traduit une certaine conception humaine quant à son existence, sa mort et de sa destinée en les accompagnant de formulations comme : Résurrection, Rassemblement global, Jugement ultime, Vie après la mort, Rétribution finale, Récompense et châtiment éternel, etc. Quoi qu'il en soit, l'état de l'individu libéré dans la mort définitive est perçu de façons diverses. L'ambiguïté demeure toujours car la mort est sujette naturellement à l'incertitude même si l'accent est mis sur les promesses, les espérances qui se manifestent dans tous les discours religieux. Toutes les croyances développent une thématique conceptuelle de la mort, suivant que la perspective est théiste, panthéiste, polythéiste, animiste ou athéiste. Malgré tout, la question ontologique qui hante l'Humanité reste toujours : "existe-t-il un destin individuel post mortem [Vie dernière] ?"
L'auteur, de formation scientifique, a écrit divers ouvrages dans le domaine des Sciences humaines [Histoire, Sociologie, Anthropologie], de la Théologie, de la Biologie, etc. Ces écrits éclairent, certaines zones d'ombres et mettent en lumière une version différente de celle qui est communément admise. Enfin, l'auteur introduit des notions nouvelles et enrichit les champs des connaissances par l'innovation d'un ensemble de postulats, de concepts, d'idées.
La mort biologique résulte de l'incapacité permanente d'un organisme à résister aux modifications imposées par son environnement. Au-delà de cette caractérisation médicale, on peut dire que la mort est un événement majeur dans la destinée de tous les êtres humains. En effet, ceux-ci entretiennent des relations très complexes avec la mort dont l'approche varie beaucoup selon les cultures, les contextes et les personnalités individuelles. Mais dans tous les cas, la mort met en scène tout l'imaginaire de la conscience collective, révèle toute son étendue en terme d'inconnaissable, de mystérieux. La mort est incompréhensible, impénétrable et par conséquent, elle occupe tout l'espace émotionnel de l'esprit humain [angoisse, tristesse, appréhension, tourment, agitation, etc.]. L'examen de l'histoire de la mort montre que cette dernière s'illustre en son sens théologique comme une attente eschatologique ayant essentiellement pour arrière-fond un système de dévotions recommandé par la religion. Celle-ci traduit une certaine conception humaine quant à son existence, sa mort et de sa destinée en les accompagnant de formulations comme : Résurrection, Rassemblement global, Jugement ultime, Vie après la mort, Rétribution finale, Récompense et châtiment éternel, etc. Quoi qu'il en soit, l'état de l'individu libéré dans la mort définitive est perçu de façons diverses. L'ambiguïté demeure toujours car la mort est sujette naturellement à l'incertitude même si l'accent est mis sur les promesses, les espérances qui se manifestent dans tous les discours religieux. Toutes les croyances développent une thématique conceptuelle de la mort, suivant que la perspective est théiste, panthéiste, polythéiste, animiste ou athéiste. Malgré tout, la question ontologique qui hante l'Humanité reste toujours : "existe-t-il un destin individuel post mortem [Vie dernière] ?"
L'auteur, de formation scientifique, a écrit divers ouvrages dans le domaine des Sciences humaines [Histoire, Sociologie, Anthropologie], de la Théologie, de la Biologie, etc. Ces écrits éclairent, certaines zones d'ombres et mettent en lumière une version différente de celle qui est communément admise. Enfin, l'auteur introduit des notions nouvelles et enrichit les champs des connaissances par l'innovation d'un ensemble de postulats, de concepts, d'idées.
Auteur
Nas E. Boutammina:L'auteur, de formation scientifique, a écrit des dizaines d'ouvrages dans les domaines des Sciences humaines Histoire, Sociologie, etc., de la Théologie, de la Biologie, etc. Ces écrits éclairent certaines zones d'ombres qui sont nombreuses et mettent en lumière une version différente de celle qui est communément admise car imposée. Enfin, l'auteur enrichit les champs des connaissances par l'innovation d'un ensemble de postulats, de concepts, d'idées. Par exemple, la Collection Néoanthropologie est une manière d'inaugurer une approche de la Préhistoire, de l'Archéologie, de l'Anthropologie, de la Linguistique, etc. L'auteur introduit des notions nouvelles, des modèles originaux, des données inédites.
Échantillon de lecture
B - La mort - Notions générales
La signification de la portée de la mort est d'ordre universel. Anthropologiquement, toutes les cultures humaines tentent de la dépasser non pas en la niant, car elle est inéluctable, mais en prolongeant ou en retardant son échéance. L'homme ne peut subsister sans l'avoir, au préalable, considérée, incorporée dans son existence, sans l'avoir tenter de la comprendre, de l' intellectualiser 8 par un quelconque développement ou démonstration [spirituelle, morale, etc.]. La mort demeure l'affirmation de la vie contre la disparition. L'Humanité comprend l'ambiguïté de son effort scientifique et technique à opter pour le sursis contre la mort ; elle conçoit que le consentement à l'existence demeure finalement qu'une manière de surseoir. Ainsi, la Mort octroie un sens à la Vie et vice versa. Devant la vie qui angoisse, qui recherche à gagner du temps devant l'inexorable, qui s'efforce de poursuivre le sens de la vie face au non-sens de la mort.
La quête du bon sens est le plus grand défi de son existence. C'est une proclamation de résiliation d'un engagement envers l'épouvante de l'inconnu : celle de la mort !
Du moins, la mort contraint l'homme à imaginer des raisons de vivre d'avantage, malgré la conviction d'une existence passagère, tourmentée et, en définitive, périssable. Ce faisant, il ne dispose aucunement des clefs du mystère de la mort qui est également celui de la vie. Dès lors, l'homme se met à affronter la mort par son vouloir-vivre plus instinctif, plus réactif aux motivations qui n'appartiennent pas, en réalité, à des phénomènes d'origine naturelle , mais culturelle. En effet, ni la vie et ni la mort ne se présentent pour lui comme étant " naturelles ". Son expérience humaine des choses ne se rapporte qu'aux notions de problème et de valeur, où toute solution s'obtient par réflexion et décision, c'est-à-dire en rapport à la pratique sociale par prescription de règles, par emploi d'actes et de rites, par amoncellement de croyances, de mythes et de superstitions. Quoi qu'il …