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Roman choc traitant de la désinstitutionnalisation En 2004, ceux qui se prononçaient contre la désinstitutionnalisation se voyaient répondre qu'ils n'avaient pas de coeur. C'était vouloir garder les 'fous' dans leurs geôles. Le personnel qui les traitait au quotidien se devait de laisser partir leurs patients du jour au lendemain, sans poser de question. Le silence d'alors fut considéré tel un consentement. Il était si payant de sortir les fous et de les accueillir chez soi ! Du coup, les pauvres devenaient une marchandise TRÈS payante, qui s'échangeait et se monnayait une fois la maison de leurs 'hôtes' payée. Bruno Jetté, psychosociologue, était de ceux qui ont osé s'opposer à la désinstitutionnalisation. Ayant vu ses ex-patients se nourrir à même les poubelles, mendier dans la rue et dormir dans les ruelles, ses pires craintes se sont confirmées. Il se porta à leur défense en dénonçant la situation. Ce faisant, il faillit tout perdre, y compris la raison. Et si le roman qu'il nous livre ici n'en était pas tout à fait un ?
Bruno Jetté pratique le métier de psychosociologue depuis maintenant plus de trente ans. Ce travail, il l'a toujours pris très à c?ur. Ceci ne l'empêche pas d'embrasser plusieurs hobbies, tels la peinture et bien sûr, l'écriture. Un véritable artiste ! Rédigé en 2004, à l'heure même de la désinstitutionnalisation, La traite des fous constitue son tout premier roman en carrière... et le premier d'une longue saga.
Auteur
Bruno Jetté pratique le métier de psychosociologue depuis maintenant plus de trente ans. Ce travail, il l'a toujours pris très à coeur. Ceci ne l'empêche pas d'embrasser plusieurs hobbies, tels la peinture et bien sûr, l'écriture. Un véritable artiste ! Rédigé en 2004, à l'heure même de la désinstitutionnalisation, La traite des fous constitue son tout premier roman en carrière et le premier d'une longue saga.
Texte du rabat
Roman choc traitant de la desinstitutionnalisationEn 2004, ceux qui se prononaient contre la dsinstitutionnalisation se voyaient rpondre qu'ils n'avaient pas de coeur. C'tait vouloir garder les "e;fous"e; dans leurs geles. Le personnel qui les traitait au quotidien se devait de laisser partir leurs patients du jour au lendemain, sans poser de question. Le silence d'alors fut considr tel un consentement. Il tait si payant de sortir les fous et de les accueillir chez soi ! Du coup, les pauvres devenaient une marchandise TRS payante, qui s'changeait et se monnayait une fois la maison de leurs "e;htes"e; paye. Bruno Jett, psychosociologue, tait de ceux qui ont os s'opposer la dsinstitutionnalisation. Ayant vu ses ex-patients se nourrir mme les poubelles, mendier dans la rue et dormir dans les ruelles, ses pires craintes se sont confirmes. Il se porta leur dfense endnonant la situation. Ce faisant, il faillit tout perdre, y compris la raison. Et si le roman qu'il nous livre ici n'en tait pas tout fait un ?
Résumé
Roman choc traitant de la désinstitutionnalisationEn 2004, ceux qui se prononçaient contre ladésinstitutionnalisation se voyaient répondre qu'ils n'avaient pas de coeur.C'était vouloir garder les "fous" dans leurs geôles. Le personnel qui lestraitait au quotidien se devait de laisser partir leurs patients du jour aulendemain, sans poser de question. Le silence d'alors fut considéré tel unconsentement. Il était si payant de sortir les fous et de les accueillir chez soi !Du coup, les pauvres devenaient une marchandise TRÈS payante, quis'échangeait et se monnayait une fois la maison de leurs "hôtes" payée.Bruno Jetté, psychosociologue, était de ceux qui ont osé s'opposer àla désinstitutionnalisation. Ayant vu ses ex-patients se nourrirà même les poubelles, mendier dans la rue et dormir dans les ruelles,ses pires craintes se sont confirmées.Il se porta à leur défense endénonçant la situation. Ce faisant, il faillit tout perdre, y compris la raison.Et si le roman qu'il nous livre ici n'en était pas tout à fait un ?